Il « mito » massonico. 141 italiana, lo proclamarono i massoni stessi. Nel manuale di Osivald Wirth : «La Franc-Maçonnerie rendue intelligible à ses adepts», Paris, 1931. Dorbon-Ainé, si legge (a pag. 101): « Au point de vue des tendances générales et de la manière de travailler, la Maçonnerie italienne est plus que toute autre la soeur de la Maçonnerie française. Elle l’a prouvé par son attitude en 1914, car, tout en restant correcte au point de vue international, elle sut préparer les Maçons italiens à remplir tout leur devoir envers leur patrie et la civilisation ». Anche più edificante è il già accennato episodio dei volontari irredenti in Francia come è raccontato dal volume, massonicamente ineccepibile (premiato dalla Loggia Le portique) su « La Franc-Maçonnerie italienne devant la guerre », di cui è diffusamente cenno più oltre. A pagg. 38-39 è narrato: « Un certain nombre de jeunes gens, venus d’Italie à Nice, en octobre 1914, pour s’enrôler dans la Légion Garibaldienne, s’insurgèrent avec véhémence en apprenant que leur destination serait l’Argonne, et non pas les côtes de la Dalmatie, comme ils l’avaient espéré et comme leurs chefs l’avaient demandé, du reste, au Gouvernement français. Dans une tumultueuse assemblée les protestataires sommèrent un député républicain, personalité éminente dû Grand-Orient d’Italie (l’on. Eugenio Chiesa, N. d. A.), de declarer que ce changement de destination les libérait de leur promesse et qu’ils pouvaient retourner à leurs foyers sans manquer à l’honneur. Et, devant leurs insistances, la réponse fut affirmative. Ces jeunes patriotes avaient signé, entre les mains des émissaires de la Maçonnerie, l’obligation qui ne les liait qu’en vue d’un objectif national. Voila comment le Grand-Orient trahissait les intérêts nationaux au profit de la France, pour qui il ne cachait pas, d’autre part, d’éprouver une , chaude sympathie, fondée sur la communauté de la race, sur les liens noués dans un passé récent, et sur les affinités idéales». Se la massoneria, durante la vigilia e durante la neutralità, assecondò e favorì la causa dell’irredentismo, essa si rese gravemente colpevole verso la Nazione con le sue titubanze e con le sue avversioni di fronte al programma delle rivendicazioni na-