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Parte I • Considerazioni di oggi.
     Il carattere affaristico delle associazioni massoniche risulta da una quantità di episodi. Per l’Italia basti ricordare che il più potente ed illustre restauratore del prestigio massonico, il Gran Maestro Adriano Lemmi, a parte una contestata accusa di furto (Cfr. Luzio: «La massoneria e il risorgimento»), figura fraiper-cipienti di grosse somme dalla Banca Romana di scandalosa memoria, come anche recentemente lo ha documentato Nello Quilici nel suo ampio volume dal titolo, appunto, di « La Banca Romana » (Milano, 1935). Molti altri casi minori potrebbero essere citati. Circa la permeazione massonica nei varii campi, cfr. tre volumetti dal titolo « La setta verde in Italia » pubblicati a Roma nel 1906-7 da Desclée, Lefebvre & C. e nei quali vengono esaminati il lavoro interno, il lavoro esterno di assalto e quello di conquista. Vedere pure i documenti e le notizie recati nella sua vivacissima campagna anti-massonica daWIdea Nazionale e, successivamente, da Roma Fascista. Ma è in Francia che gli scandali finanziari a tinta massonica sono particolarmente frequenti e gravi. Ne passa in rassegna qualcuno Robert Vallery-Radot, in «Dictature de la Maçonnerie» (Paris, 1934) (pag. 262): «Les scandales financiers se multiplient. L’affaire de Panama va montrer à cru quels sont les vrais ressorts de la fameuse croisade pour les Droits de l’homme. On a la liste de cent cinquant parlementaires dont les voix ont été achetées lors du vote pour les obligations à lots de la Compagnie en 88. Floquet, durant sa présidence du Conseil, s’est servi de cet argent pour soutenir les journaux du parti et préparer les élections. Pour défendre la République comme il fallait la défendre, avouera cyniquement ce joyeux forban de Rouvier. On laisse étouffer l’affaire, acquitter tous ces parlementaires, sauf le ministre Baïhaut qui a eu la faiblesse d’avouer qu’il avait touché un million. N’oublierons-nous pas nous-mêmes que le cartel a pris Stavisky comme bailleur de fonds des élections de 1932?... (pag. 248). Mais voici encore un scandale financier: celui des chemins de fer de l’Est où le gouvernement est encore complice. C’est une crise de conscience pour les droites. Vont-elles toujours couvrir les concussionnaires de leurs votes? A la grande indignation des