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lis, il serait vain de s’essayer à la rendre. Pour l’illustrer, un chiffre suffit : dans eetta ville moyenne ne paraissent que douze journaux, parce (¡lie plusieurs viennent d’être supprimés.
  Pilotés par tant de publicistes ardents à leurs thèses, nous n’avons guère le loisir de nous arrêter au pittoresque de Sergevo, à ses monuments, à ses industries.
  Nous obtenons, un matin, d’entrer à la mosquée, les pieds dans des sandales. Derrière les liles alignées, plongeant, avec ensemble, à intervalles réguliers, comme pour des exercices militaires, je me souviens de.1*, préceptes d’hygiène chers à Mahomet et conclus à leur explication dans cet exemple de culture physique. A quelles, bonnes leçons de gymnastique suédoise, en effet, s’adonnent, chaque jour, leur vie durant, ces hommes qui se laissent tomber sur les genoux et les mains pour baiser le sol, leur derrière en l’air, et qui se redressent de toute leur taille pour recommencer aussitôt, au minimum trois fois ! Et, loin de moitouteintentiond’irrévérenceàleur égard ! J’ai constaté que le zèle de ces croyants dépassait de beaucoup celui des nôtres.
  Nous traversons en coup de vent, la manufacture des tabacs, considérable, bien outillée, où volent des poussières blondes dans un parfum oriental, un peu écœurant le Musée, un des