1020 Appendice. qu’elle m'a «lict, promettant (le nouveau ce que dessus, lorsque S. M. me commanderoit (l'en tirer asseuramce, c’est autant comme si du comma ncement elle a voit fait une ligue ouverte avec le Roy ainsi que je l’en avois requis, puisque l’on vient à luy engager par conséquence lorsque les Espagnolz ne se voudront desister, qui est, ce me semble, toiut ce que S. M. peut desirer, mai» il ne faut rien esperer par effect de tout cecy selon mon jugement que la Rochelle prise S. M. estant à Lyon et prenant en son nom la protection du Duc de Mantoue estimant que de Turin le Roy est punctuellement adverty de ce que M. Marini [»eut descouvrir des intentions de M. de Savoye, cela sera cause que je ne vous diray rien sur ce subject sinon qu’en une rencontre que j’ay eue avec son ambassadeur il m’a semblé qu’il ne seroit pas difficile de destascher son maitre d’avec les Espagnol» pourveu qu’il eust promesse du Koy qu’une bonne partie de ce qu’il a occupé du Mon tf errât luy (lemeureroit pour les prétentions que ses predecesseurs et luy ont de longue main comme aussy pour la restitution et payement d’anciennes et nouvelles debtes, m’ayant fait paroistre ledit ambassadeur que ledit Duc estoit demeuré grandement content et satisfait des bonnes paroles