Acolouthie de Marc Eugénicos archeveque d'Éphbse 235 0iOTO»ÌOV. 'rwépxèi-rai tò 9«0iy.ac sou tg v cf(ji.Tix*voO(ii 7cam*i • 0(At«ì TtCuTSt »al Itófto) io So^oXoyoOvTss eócp7)jji.ou(/.sv ae. ’E£ait0ffTîiXacpi0v- Tot; ¡/. a 9 ?) t aï ; . To' Ti; ocyvsia; àyaXpia, ttì; ffocpiaç tòv ¡¿syav àvSpiavTa »al 7toXuTi(iov, 15 tò TŸii 9eoXoy£ai tìÌì ó^TrjXTii »al èv9sov» 7tsXayo; où^ ôptÇov TOÏÎ TV TCo’ÔCi) îÛCpï)[/.7Î<7[/.£V Map»ov to'v Osriyópov. t LOUIS PETIT Archevêque de Corinthe C’est au débout de Mai 1927, àu moment de partir pour la France, que M.gr Petit avait confié à la Rédaction des Studi bizantini cette publication sur Marc d’Éphèse. Il ne devait pas, hélas, la voir sortir des presses. Terrassé par une maladie implacable, qui a dérouté jusqu’aux dernières semaines le diagnostic des médicins les plus réputés, le savant byzantiniste est mort à Menton, le 5 Novembre dernier, dans sa soixantième année. La Rédaction des Studi bizantini, auxquels il promettait une collaboration assidue, s’associe au deuil unanime des amis des sciences byzantines, et dépose sur la tombe de l’illustre prélat, qui a tant honoré l’Eglise et la science, la fleur de son souvenir reconnaissant. Il lui est impossible de donner ici la lista complète des travaux de l’illustre prélat. On la trouvera dans les Echos (TOrient d’Avril-Juin 1928, pp. 137-144.