— 144 — vaïiissement de l’eau à un ou deux compartiments dont la contenance est trop faible pour compromettre la sécurité une fois remplis. Malgré ce palliatif, une explosion de torpille est toujours cihose grave pour 'un vaisseau et lorsqu’il s’agit d’une torpille dormante contenant beaucoup plus d'explosif que les torpilles automobiles, il en résulte souvent la perte totale et soudaine. En résumé, au XX* siècle, l’arme principale des combats sur mer reste le canon et par suite il est de toute nécessité de cuirasser les vaisseaux destinés à entrer en ligne. Tout bâtiment sans protection, quels que puissent être ses autres moyens d’action est obligé d’éviter la rencontre avec les navires bien défendus. La torpille reste un mode accessoire de combat qui possède sa valeur, mais ne peut à lui seuil décider de la victoire. ARMEMENT DE BORD Canons Epoque de la lr‘ République et du 1er Empire 548. Canon de 18 sur son affût, avec ses acces- soires (année 1789). —.892 I. Lp. 549. Canon de 36 sur son affût (années 1792 à 1814). — 145 I. a. 550. Canon de 24 sur son affût (années 1792 à 1814). — 79 I. a. 551. Canon de G sur affût à coulisse (années 1792 à 1814). — 140 I. a.