384. Poulie de retour pour palan d’appareil (an- nées 1792 à 1837). — (Voir n" 352). — 62 I. Lp. 385. Poulie d’itague de hunier (années 1792 à 1837). (Voir n° 348). — 42 I. Lp- 38(5. Poulie d’amure de misaine (années 1792 à 1837). — 35 I. Lp. Poulie frappée aux deux points ou angles inférieurs d’une voile carrée, à côté de celle d’écouta (voir n° 379) pour recevoir l’amure, cordage destiné à tirer le point de la voile vers l’avant du bâtiment. Toutes les voiles carrées ont deux amures, une à chaque point inférieur. (M. F.) 387. Poulie d’étai de petit perroquet et de bouline (années 1792 à 1837). — 44 I. Lp. Poulie frappée sur le bout-dehors de foc pour recevoir les deux cordages dont elle porte le nom. . (M.-F.) 388. Moque d’étai (années 1792 à 1837). — (Voir n° 359.) — 68 I. Lp. 389. Moque de palanquin de ris (années 1792 à 1837). 60 I. Lp. Le palanquin (petit palan) de ris sert à rapprocher de la vergue les extrémités de.s bandes de ris lorsqu’on veut diminuer la toile des voiles majeures. Pour obtenir ce résultat, ces voiles sont garnies de deux, trois ou quatre bandes de ris, petits cordages passés dans des œillets au moyen desquels on serre .sur la vergue la toile ramassée. (M.-F.) Dans la seconde moitié du XIXe siècle l’invention • des doubles hunier.« a amené la suppression de ce