— 103 — 427. Cabestan à deux cloches. (Voir n° 86). — 1266 I. a. 428. Cabestan à linguets en fer. (Voir n° 86). — 851 I. a. 429. Cabestan à pédales pour faire monter les tours de cordage sur la cloche. (Voir n° 86). — 849 I. a. 430. Cabestan à galet pour faire monter les tours de cordage sur la cloche. (Voir n" 86). — &Î8 I. a. 431. Ancre à quatre branches ou grappin. — 26 1. Lp. Une ancre est un crochet de fer forgé à deux, trois ou quatre beos, que l’on jettte au fond de la mer pour qu’il s’y cramponne et arrête ainsi le bâtiment auquel il est lié par un câble ou une chaîne. Les ancres à trois ou quatre becs, plus petites que celles qui n’en ont que dimx, sont spécialement appelées grappins. Les ancres ou ¡ers des anciennes galères étaient des grappins à quatre becs. On s’en sert encore de nois jours pour les embarcations. (M.-F.) La forme d’ancre à quatre bras, on grappin, est la plus ancienne, c’est sans aucun doute celle des pre-miers âges de l'humanité, comme il est démontré par des dessins ou autres documents et aussi rtar ce fait que c’est seulement ce type qu’on rencontra chez les peuplades sauvages. 432. Ancre ordinaire à jas fixe. — 188 I. a. L’ancre ordinaire se compose d’une forte pièce de fer forgé, la verge, dont l’extrémité supérieure est percée d’un œil dans lequel est passé un anneau ou organeau {on dit aussi la cigale) pour tenir la chaîne ou le câble, et dont l’extrémité inférieure se bi-