— 20 — l’autre, Cette opération s’appelle le commettage. Au moyen des crochets mobiles du rouet. le bitord se trouve tortillé dans un sens opposé à celui des fils ’qui le composent et il ne peut, dès lors, se détortàller. Les procédés pour la fabrication des grelins et des câbles dérivent du même principe, il n’y a de différence que l’emploi des moyens nécessités par le grand nombre des fils qui doivent former les torons et le remplacement de l’émerillon par un carré à manivelle. On commet généralement les cordages au tiers ; c’est-à-dire qu’on ourdit le fil à 12 brasses pour en avoir 8 de cordage : si 12 brasses de fil ourdi en donnent 9. celui-ci est dit commis au quart, (M.-F.). Les cordages de l’Etat portent une marque, consistant en un toron goudronné dans les cordages blancs et un toron blanc dans les cordages goudronnés. La corderie a, au XXe siècle, diminué beaucoup d’importance et ne représente plus dans les arsenaux modernes qu’un atelier secondaire. 31. Machine à filer le chanvre pour confectionner les fils de caret. — (Voir n° 30). — 921 I. Lp. 32. Appareils à îiler le chanvre. — (Voir n° 30). 880 I. a. 33. Machine à filer le chanvre. — (Voir n° 30). 842 I. Lp. 3i. Chantier de filage à éraerillons. — (Voir n° 30). — 877 I. a. 33. Chantier de filarre à cmeriilons. — (Voir n° 30). — 878 L a. 30. Chantier de filage à émerillons. — (Voir n° 30). — 879 I. a.