— 36 — DRAGUES, POINTONS, GABARRES, AMARRAGE DES BATIMENTS 113. Drague ou Machine à curer à quatre cuil- lères (année 1770). — 98 I. m. f. La machine à draguer, nommée aussi cure-môles, se composait d’un ponton muni d’un appareil à roues, mû par des forçats, destiné à manœuvrer d’énormes cuillères employées à curer la vase. Ces cuillères descendaient au fond de l’eau, y traçaient un sillon et revenaient hors de l’eau chargées de vase ; un ressort en faisait ouvrir le fond et la charge tombait dans un bateau .dit gabarre à clapet (voir n° 137} présenté au-dessous pour la recevoir. (M.-F.). Ce modèle de drague a complètement disparu vers le milieu du XIXe siècle ; les dragues modernes sont à vapeur, les cuillères ont été remplacées par des godets montés sur une chaîne sans fin. Chaque godet se vide en se renversant au-dessus d’un conduit allant à la gabarre, quand il arrive au haut de sa course. 114. Drague ou machine à curer (années 1792 à 1814). — (Voir n° 113). — 944 I. Dp. s 2.082. Drague ou machine à curer (années 1792 à 1814). — (Voir n° 113). — 916 I. a. 115. Drague ou machine à curer (années 1792 à 1814). — (Voir n° 113). — 29 I. a. 116 Drague ou machine à curer (années 1792 à 1814) — (Voir n° 113). — 863 I. a. 117. Drague ou machine à curer (années 1792 à ?814). — (Voir n° 113). — 914 I. a. 118. Drague ou machine à curer (années 1792 à 1814). — (Voir n° 113). — 915 I. a.