ALESSIO. — DURAZZO.
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tètes de statues assez ordinaires et dont	011 s’exagérait la valeur ; le seul objet curieux consistait en un énorme bloc
de beau marbre blanc mesurant lm,80	en hauteur sur 60 centimètres de lar-
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homme allant à u.iii-
che et se retournant I I	’ Ÿ . J
à droite, une coillïire	■
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conique sur la tète,	$1'
soutenant des deux mm*.:	I
liras un bâton placé	•.-■:■ ■
sur son épaule et sur	<J|.
I<•<111 <• I semble -us-	«apaffi:À V* J
pendu un énorme f	/ >9
serpent; devant lui,	•' Isf.
allant à gauche bondit un chien, dans le champ, entre les jambes les mots « ET TIBI » qui me semblent d’une époque postérieure àlasculp-ture.
Rien de bien inté-	Marbre trouvé à Durazzo.
ressant en fait de
monnaies, à l’exception de pièces d’argent de fabrication assez barbare frappées par les Balsa1, qui pendant un siècle
  1. Descendants d’une de nos anciennes familles provençales ; la maison de Baux, dont un membre venu à Naples au xne siècle avec les Normands, s’y établit formant une souche napolitaine ; en 1336, un Balsa vint en