SCHLAKO-KOMANi. 267 enfla subitement et me fit réellement souffrir pendant quelques heures, un emplâtre de boue me soulagea légèrement ; si ce petit accident m’était arrivé alors que je marchais vers l’arbre d’or, les montagnards y auraient certainement vu un avertissement du génie qu’ils y croient installé, je serais devenu légendaire. Vue prise de la montagne des Sépulcres. Côté Est. Arrivé sans autre incident à Schlako, je pensais y pouvoir jouir d’un repos aussi désiré que mérité, quand, à onze heures du soir, le bruit qu’on fait dans la chambre voisine me réveille, là se trouvaient le curé, mon drogman, mon cawass et quatre hommes, deux de ces derniers sont mes inséparables. La servante de Don Miquel a entendu marcher dans la cour et vu deux hommes s’introduire dans le hangar,