LEGÀTURILE LUI I. BOGDAN CU S. FL. MARIAN 307 CBH3H HOAHA EOrjLAHA C C. «1>JI. MAPHAHOM HEH3JIAHH LIE ÜHCLMA (Pe3»Me) KaK HBCTByeT H3 Tpex Hen3;»HHbix miceM HoaHa BorflaHa, aapccoBaHHbix H3BecTH0My pyMWHCKOMy cJjojitKjiopiïCTy CHMeoHy <ï>jiopH MapnaH; Mjieny AKafleMHH, BbiAaïoinniicji pyMbm-cKHit ojiaBHCT npncrynnji k co6pamno AOKyMCHTOB IllTetfcaHa BejiHKoro b hcji/ix ny&iHKaigoi Tpii neflejiH cnycra no nojiyneBHH npefljiWKeinia co eropoHbi MiiHiicrepcTBa Hap0AH0ro 06pa-30BaHHH. Oh o6pamjicH 3a pa3tHCHeHHHMH k CBoeMy KOJinere no AlcafleMHH C. Ji. Mapnan, npo>KHBaBiiieMy b CyMaBe. B nncbMax paci-pbiBaiOTca h flpyrne «eTajin ACHTeiitHOCTH H. Bor-Aana h ero ApyHiecKne OTiiomeniiH c H3BecTHbi.w ôyKOBHHCKHM 4>0JibKJi0pHCT0M h 3TH0rpat{)0M. LES RELATIONS ENTRE I. BOGDAN ET S. FL. MARIAN. LETTRES INÉDITES (Résumé) Les trois lettres inédites adressées par Ioan Bogdan au remarquuble folkloriste roumain Simion Florea Marian, membre de l’Académie Roumaine, témoignent du fait que trois semaines après avoir reçu de la part du Ministère de l’instruction le tâche de préparer l’édition des documents de Çtefan cel Mare (Etienne le Grand), notre grand slaviste commença les recherches et les démarches concernant le rassemblement de ceux-ci. Entre autres, ils s’adressa — pour en obtenir certains éclaircissements — à Simion Florea Marian, son collègue à l’Académic, qui habitait Sucéava. En même temps, les lettres mettent à jour aussi d’autres détails concernant l’activité de I. Bogdan et ses rapports cordiaux avec le prodigieux folkloriste et ethnographe de Bucovine.