16 SESIUNEA FESTIVA de l’Université de L6dz, le lecteur V. Kolundiija de l’Université de Belgrade. D’autres savants slavistes de l’U.B.S.S, de la R. S. Tchécoslovaque, de la R. S. F. de Yougoslavie et de France ont envoyé à l’intention de la session des lettres omagiales. Au cours des travaux de la session, ont pris la parole l’académicien Dj. Sp. Radojicic, le prof. Stoïko Stoïkov, le prof. Nullo Minissi, le dr. Fr. V. Mares et le lecteur St. Gogolewski qui ont transmis les messages cordiaux envoyés aux participants par les slavistes des pays respectifs ; en même temps les orateurs ont mis en évidence l’écho international de l’oeuvre de loan Bogdan. Les communications présentées le 8 et le 9 décembre — à Bucarest — ont eu trait à l’héritage scientifique de loan Bogdan et à certaines questions concernant l’histoire de la culture roumaine et les rapports de celle-ci avec la culture slave et byzantine (l’académicien Dj. Sp. Rado-jièié, Fr. V. MareS, l’académicien E. Petrovici, l’académicien P. Constantines cu-Iagi et C. N. Velichi, P. P. Panaitescu, G. Mihâilâ, Valeria Costâchel, V. Chelaru, D. Strungaru, I. C. Chi^imia, Corina Nicolescu, A. Balotâ, Emil Yrabie, Çerban Papacostea, Dumitru Fecioru et Dan Zamfi-rescu, Elena Lin(a, P. Olteanu, A. Vraciu, I. Colan, I. Roman, Zlatca Iuffu, Olga Stoicovici, Paul Mihail). La session a continué, le 10 décembre, à Brajov dans la salle du Lycée où loan Bogdan a fait ses études secondaires. Y ont fait des communications l’académicien E. Petrovici, G. Mi-hàilâ, Lucia Djamo-Diaconijâ. Ont prononcé aussi des allocutions Elena Georgescu, le chef de la section enseignement du Conseil populaire de la ville de Bra^ov, et Toma Leoveanu, le directeur du lycée. Les communications faites durant la session sont publiés, pour la plupart, dans le présent volume. Les communications qui comprennent des descriptions de manuscrits seront publiées à part dans un repertoire collectif qui est maintenant en préparaton. D’autre part on a inclu dans le présent volume un article dû au prof. J. Kurz de Prague — qui s’est associé de cette manière aux travaux de la session —, ainsi que des articles consacréee à la culture roumaine ancienne, à la correspondance inédite de loan Bogdan.