Separatismo renano, Santa Sede e nazismo che questo fosse considerato Stato autonomo, Clemenceau si precipitò in Parlamento a sconfessarlo: — Nous avons demandé la signature de la Bavière tout simplement parce qu’il est nécessaire de s’as-surer que la constitution allemande ne permet pas à la Bavière, au moment donné, de renier sa signature. Il n’y a pas d’autre. — Cosi il Presidente si difendeva dall’accusa di aver fatta propria la politica separatista attribuita a Cambon. Trascinato a Palazzo Borbone (settembre 1919) a dichiarare risolutamente se volesse favorire la rottura dell’unità tedesca, Clemenceau rispose: « Nous voulons respecter la liberté des Allemands. En 1870, on trouvait des journalistes qui disaient: la Bavière ne veut pas marcher. Quel raisonnement j’ai entendu: les Bavarois sont des celtes; ils haïssent le Prussien. Deux jours après, vous savez ce qui arrivait. En içi4, est-ce que la Bavière a hésité a marcher? Non! Pendant la paix, j’allais, à Munich et je causais avec les Bavarois. Quand il fallait dire du mal des Prussiens, ils m’approuvaient; mais quand on parlait de rupture, c’était autre affaire. Croyez-vous que, vaincus, ils ont une autre mentalité? Bien au contraire, la défaite a déjà eu pour résultat de ressembler les forces dispersées ». Ma quanti sono i Francesi che hanno cosi completamente intuito il lato negativo di un separatismo germanico? Pochi; certo, non Berthelot; forse, non Corbin; al Quai d’Orsay sono ritornati alla tradizione. Il francese del secolo XX assiste dalla sua casa minacciata all’accanimento della diplomazia che 201