38 LA QUESTION d’EXTRÈME-ORIENT teCt°^tH Sais, | l’Indo-Ohine sans doute, mais citoyens fran-sol(ie ^^ourkas sont commandés par des officiers à la ni(Iiies Gouvernement de l'Inde, mais sujets britan-était Un inspecteur français avait été tué, la France Pensât dr0it de réclamer à •’Angleterre une forte com-Çais i0*°n Pour le meurtre d’un Français sur le sol fran-succq ^rrient envahi; mais, si un officier anglais avait oian^ l’Angleterre, qui n avait pas officiellement com-rait jH| * Cession, le Gouvernement des Indes, qui n’au-angio^'^SUer de son ignorance (puisque la commission n’auraj lanÇaise opérait précisément sur ce territoire), d’un 8 Gtlt pu réclamer aucune compensation de ]a mort si la (, 'iat angla*s' tué en service, sous son drapeau. Et la ^de-Bretagne s'était enhardie à celte demande, rcc0nv ,hlique française l'eût fait primer par une action Sais p.^'^tionnelle. en violation directe du territoire fran-^Atig] 1 ^ armée anglaise, violation que la demande de Parêe aurait implicitement reconnue comme pré- mis c| * V0]ontaire ! Le Gouvernement anglais s’était donc 1qçj^S l'alternative (dont un hasard heureuxlui aépar-,a pllIs *noonvénients) de reconnaître qu’il avait commis arrUée ^andeoffense au droit des gens, — la violation Par^j^ Un S01 ami — ou de laisser sans vengeance, et de 8oMat ^ approuver, par son silence, le meurtre de ses Pr°têg. ^tïopole I11' voudrait se soustraire, et avec elle ses des 0 ^ i i„ confusion des politiques, et à l’imminence c*evQîi> (|c force lointains que nous avons démontré rc8i*lter’ ^eUt auj°urd’hui user quelques