«Je ne lui reproche pas d’avoir eu une intention malveillante (salta su nella sua nobilissima polemica il Nostro) mais plutôt de n’en avoir eu aucune : c’est comme lorsqu’on répète un mauvais raisonnement par une espèce de mouvement mécanique de la pensée sans le discuter, sans en mesurer la portée..... Ici l’auteur a suivi une tradition de mélodramme aussi sotte que cruelle ; et je suis fâché de le dire, lui qui est si peu fait pour être imitateur, il a été cette fois “ moutonnier ” ». Dopo l’enumerazione dei delitti di questo eroe, così come risultava nel romanzo incriminato, il Nostro, soggiunge : « un homme ainsi fait n’est pas plus Italien que Hottentot. Les monstres n’ont pas de patrie...... E ce n’est pas l’amour de la patrie qui m’aveugle. Il y a bien du sang italien dans mes veines ; la langue italienne fut ma langue ma-terneille ; mes habitudes, mes croyances, ma poésie, mon sourire et mes larmes, tout est italien en moi...... Ce n’est pas dans les salons, ce n’est pas parmi les riches ni les gens de lettres, ce n’est pas même sur ces monuments que s’apris à connaître l’Italie ; c’est dans les campagnes, c’est dans les moeurs et le langage de son peuple, c’ est dans le coeur des ses admirables femmes...... - 141 —