X AVANT-PROPOS est plus particulièrement rempli par les incidents dont le discours du baron d’Æhren-thal, le 27 janvier dernier, a été le signal : chemins de fer et réformes. Le septième chapitre montre les grandes puissances européennes, en lutte d’influence politique et économique, à Constantinople, centre du gouvernement et des affaires, et dans tout l’Empire ottoman. Le huitième nous introduit dans laques-tion arabe et nous explique comment la politique de l’Angleterre en Orient est particulièrement déterminée par ses intérêts en Egypte et en Asie. Avec les neuvième et dixième chapitres nous sommes sur les bords du Danube pour y constater le développement de la Serbie et de la Bulgarie qui sont aujourd’hui de taille à jouer en Orient un rôle important et autonome. Enfin, en terminant, et avant d’esquisser quelques conclusions générales, nous consacrons deux chapitres aux intérêts particuliers et traditionnels de la France dans le Levant : la question des écoles et celle du Protectorat, si discutées en ces derniers mois au Parlement. Ainsi s’achève le cycle : nous ne croyons pas qu’il laisse en dehors un seul problème considérable : celui du chemin de fer de Bagdad est abordé au cours du chapitre vu à propos des intérêts ri-