PRÉFACE il I mes années de travail. A mesure que mes recherches ont avancé, la conviction s’est faite en moi que, plus que jamais, la cause de la France s’identifie avec celle de la justice, et que pour résoudre la question d’Autriche, la meilleure manière d’être bon Français sera encore d’être bon Européen. Paris, 15 janvier 1901.