426 L’EUROPE ET LA QUESTION D’AUTRICHE Or, que faut-il pour assurer au monde tous ces bénéfices? Simplement la volonté de prévoir il temps. S’il est vrai qu’actuellement un danger redoutable menace l’Europe, tous les moyens existent d’y parer. C’est aux Français et aux Russes, au Tsar et au gouvernement de la République, qu’il appartient d’empêcher la « question d’Autriche » de jamais se poser. Il dépend d’eux d’assurer aux peuples, pour une période nouvelle, ce bien suprême : la paix. FIN