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Hollande, <lou\, humilie, sans variations extrêmes, niai» nvoc des bise» violentes et quelques recrudescence» de froid, que lui valent, sur la terre, le voisinage de la steppe, et, sur la mer, rabaenccde tout courant bénéfique, tel qu'en Europe le tiulfstream. (L'influence des courants maritimes ne se fait sentir, en effet, que sur la ceinture d'îles dont les rivages extrême-orientaux sont entourés.) Sur toute la région méridionale, là où les derniers renflements des montagnes et la forme convexe des côtes protègent les deltas et les vallées contre les vents ma ri limes, un climat très chaud, continu, s'établit. Ni la brise de mer, ni les vents naissant dans les montagnes, ni les pluies, rares dans les plaines el sous les latitudes équatoriales, n’ont assez de valeur pour procurer des abaissements de température longs et inqiortanls.
  Ainsi le* plaines méridionales du tjuangtong. de l'Indo-Chine et du Sium jouissent de journées presque égales à elles-mêmes en été et en hiver, et île nuits presque aussi chaudes que les jours. I.a température, qui se maintieut sans être excessive < moyenne de vingt-cinq À trente degrés de chaleur), ne donne re|ieiiilalil aucun répit au cor|>s humain el anémie fortement, par la continuité de son ardeur, la colonie européenne ; cette influence est d'autant plus marquée que. à cause du voisinage de la mer, l'air est surchargé d humidité et d'électricité, que les orages ne vienneut détendre qu'à de trop rares intervalles.
  Là où l'influence maritime se fait directement Mfitir. les marées d'une part, les cycloro-» d'une autre, apportent, ilans la chaleur de l'atmosphère, de bienfaisantes perturbations. Ou donne à la naisaauce de* typhon», cyclones <ni tornades, particuliers aux mers