CHAPITRE VI 107 tétragrammatique * », dont le deuxième terme « L’ydn » est le principe de causalité considéré dans sa puissance efficiente. Appliqué à l’homme, après l'apparition des formes, (l’écoulement de l’Être dans le courant des formes) « Uyiln » n’est autre que I idée de oie, principe en vertu duquel les êtres sont engendrés ; l’idée «le vie, dit Tsoulii. c’est précisément l'humanité et la solidarité : Ceu. Ce mot implique, philosophiquement, la communauté de la naissance des êtres, et, socialement, leur intimité dès leur naissance ; et cette solidarité, qui commence dès le premier jour de la création, se poursuit à travers la vie, jusqu’à la réintégration finale, sans s'arrêter à la mort ; car, dit le commentateur, « aucun homme, dans l’éternité, ne pourra être complètement heureux, tant qu'il subsistera un malheureux. I/' malheur d'uu seul être est une défectuosité, qui empêche le houheur de l'univers d'étre |>arfait et complet ». Donc, et dès ce monde, la chanté et le secours mutuel ne sont pas seulement un devoir; c'est là une o-tivre personnelle, qui profite tout autant à celui qui la fait qu'à celui qui en est l’objet, et tout aussi directement. Tous ceux qui ont parcouru la Chine remarquent avec étonnement combien cette notion impersonnelle et délicate (dont nous verrons au prochain chapitre une application pratique bien singulièreI lirut de place dans l'esprit de tous les Chinois. Avec la tour-uure sérieuse de se» conceptions, le Chinois a tiré de cette notion de fraternels principe», journellement appliqués, comme le» premiers et le» plus naturel* ' Nom* n'rn itobi point parié pour nr pa* ■llocpr cl alourdir te tojfi de rotuidêratioa», fort inléemaiim um doute, nui* lUiMpiemenl k1cuJuk*|u«-*.