15-1 l’emimhe du milieu diplomatique ou immédiat) plus avantageux pour eux que l'indépendance douteuse et sans sécurité que ce gouvernement remplaçait. La guerre malheureuse que la Chine soutint contre le Jupon, à propos du royaume vassal de Corée qui réclamait son indépendance, guerre qui se termina («ir la perte de Wcihaïwei, de Fortnose et des Pesca-dores, vint exciter d'autres et île plus brutaiLX appétit«. Les puissances y acquirent en effet une preuve de l’infériorité, non seulement de l’Empire chinois dans la guctre. mais de la race jaune dans toutes IsdlOM) de la force ; le trAne lui-même semblant menacé par une notable partie du |»euplc, qui voit aujourd'hui son intérêt dan» un réveil de l’idée de race et dans une certaine assimilation nus progrès modernes, il s’agissait d'arracher à la dynastie chancelante »es dernières concessions. Et, au lieu d’attendre que le« acquisition» fussent complètement assimilées el européanisées pour en réclamer d'autres, on se jeta sur la Chine comme au moment d'un partage, où le plus fort a le plus de raisons et d’avantages. El chaque puissance colonisatrice s'étendit au delà de ses force», préparant ainsi à ses futures générations de lourde» besogne» assimila trices. Il »•»! vrai que, dan» cette extrémité même, le Çéknte Empire trouve, dans de si nombreuses avidités, un gnjre de ilurêe ; car les puissance» alisorlmntes, venant k rejoindre leurs frontières el h heurter leurs appétits, regardent ave»- jalousie le» empiètemenl» du voisin; et plutôt que de voir passer à d autres ce qu’elle ne |»oumiient raisonnablement pri'inlrr pour elles-mêmes. préfèrent se porter garante» de l'intégrité momentanée du sol chinois. Pour colorer de convenance ces invasions, que rien