OIAI'ITKR II
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l'on reconnaîtra qu'il n'y en aura jamais etc**,quand ou muni que I« tiers du genre humain consomme du riz au lieu de pain et ne Murait vivre sans en manger tout le long de» deux repas quotidien». L'engrais de ce» culture» est à la portée de» propriétaires et ne fuit jamais défaut. Car c'c»t l'engrais humain, soigneusement recueilli toute l'année aux porte» des villages et dan» l'intérieur de» foyers et judicieusement réparti »ur le» terres, qui enrichit ce sol auquel on demande tant, et qui termine et ferme le circultu de vitalité réciproque auquel les Chinois tiennent comme à un dotnne philosophique, et qu’ils reprochent fort aux Européens de ne pas utiliser.
Le» deltas, si largement étendus qu'ils soient, ne comprennent que le rii comme culture, et, aux alentours de» villages, quelque» champ» potagers et, chez le» plus riches, des plantations de canne A sucre qui sabrent l'apparence paisible des autre» culture» de leur» hampe» drue» et violettes. Le camphrier, là où il est exploitable, est une ressource. Le poivre *e cultive en liane parasite autour des gp»» arbres. Les Européens ont donné une impulsion spéciale à la culture raisonné« du cotonnier et ont importé la rulture du café. — Le chanvre, i’abaca de Manille, le tabac, la badiane, le jute sont parmi les cultures naturelles. Le cunao. fruit de l'arbre d'où l'on tire la couleur rougeâtre qui couvre les habits du paysan et de l’ouvrier. et le» autre» plante» tinctoriales se cultivent aussi sur d’amn grands espace». Le bananier, le cocotier, le cannelier. le jaquier, l'aréquier, le manguier. le letchi. le mandarinier, et. dan» le Sud. le» arbres à pastèque», à papayes, les ananas, le» man-gousUnicr» sont le» principaux arbre» à fruits de