«:iiArm»E i 13 girci et aux IwiiiiIkiii» ; enfin, «une» le« ondulation« de moire verte, voici le rii, jiére ile In rare ; el. au midi triomphant du noir il oriental, voici la plaine fertile, riche d'homme* et «le moiwwm«. I*ui»»amm«'iit endigue** ilV'|MÌ«n lev»'«» de terre, le* fleuve* founiiment, par mille canaux, le drainage de« piaine« ; aotM leur* haie* de ImmUni» el «ni* Ir» fleur« •le leur» potager», le» village» «V-chelounciit, *e pre*M>nl à ae tourher le long ile ce» route» où grouillent l«>» caravane» ile» voyageur* et de* marchand» ; d'enorme» agglomération» de hrk|ue«, d'où pointent le» lier» recourhé» de» pagode», «'accroupiMrnt au tournant ile» riviere«, march«*» d'échange» perpHwl* «ut vivent nMp à nltr de» centaine» ih» millier», de» million» «l’homme» ; partout la vie «Viale et déborde ; et miuk la hri,»e du noir. le va»te manteau veH de» ri* «Halé» *ur le« plaine» infinie», ondule et ranw «loucrment la terre féconde ju«(|ue par delà le» horizon*. Et voici qu'au Noni, peu à peu, à m«*»tirp que la nuit tombe, décroît IViulirninrr «le la rirhe»*e el «le la vie. que l’csmlence li lire «le» champ* dî*p»raft. que le» ville» »ont lojntne de va*te» camp« nel r» neh ri» au milieu «l'uiu* nature più» avare et au»*« più» pauvne ; de maigre« rui»%eau\ ne «le la muraille par laquelle la Óhine rioit »’iti* «èpa-rèe du re»le «le l’unirer». El, là-K»«. an Uail «le la »> «k*n, l'etrangr lime au« r»«o«i» bleu* «le ITÀIrfme-Orient fait luire la ligne tremblotante «Intrau«, aux