CHAPITRE III
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tou* les vient d'utilité. C'est sur«!«* tel* »pkimrnt, !«•» seuls ijur, |H*u<lant longtemps, connurent les Européens, qu'on jugea I«* peuple chinois; et le jugement qu'on porta fut aussi erroné que le serai! relui d'un étranger eslimant le jieuple français au vu îles uialc-lois, «les lia rlmrvs<| lies, «les leVHUtins «les q liais «le Marseille.
  C’est |tanni lit |Mipulalioii agricole — qui Tonne en-ron’ In presque totalité «lu (»niple jaune — qu'il faut chercher l«>* caractères «lislinrlirs de la rare et «le la nation. !>•» populations agrù-ole* sont aussi Msleiilain-s «jue le leur permettent leu ntirs l»esoins «le leur exiv-teiH-r et que le conaeillent la lenteur et la «linirullé de» communication*. Peu lalioricux sans «loule. mais pa-tienLs et intelligents. I*-* paysan* se contentent «lu travail modéré «le la lerrr «H savent borner A la fois leur fortune et leurs «lé»irs. L'argent en las ne les lente pas. et ils se jugent satisfaits «le l'assurance «lu l«*n<lem»in. A vivre ainsi, «lans la lran«|uillilé <l<** campagne*. |Mrmi la douceur «les chose*, la rlèmenre bienfaisante «lu soleil et «le la rixiére, sans les préoccupations «le l'extérieur, sait* le souci «le* événements lointains, «Uns le rerrle restreint «lu foyer familial et «1«ti <m~ naissance* utile*, le paysan sur sa terre revêt un aspivt «ligne et patriarcal. «H il pratique. sans difficulté'* ap|«renle* ni réelles, les vertu* «le la loi naturelle, que son ciel et son tempérament lui rendent facile* ef nii'mc agréa 14c*. En communion intime avec ce qui l’wiUjare. son sédentarisme l'attache «>» l'ammilr à mu sol natal, et il consume au seul entretien «le sa terre et «le «on foyer toute sa pacifique ardeur.
  Les habitants des nowlagne«. mieux découplé* par le» aspérité* même« «le leur pays, sont pin» apte» ans