«¿0 l'kmpihe nr MILIEU Tonkin, le Nor«l do lu Mandchourie, fit élevrr la grande inurnillt', et, pour asseoir à l'intérieur sa domination, dont les savants critiquaient l’autocratismc, il proscrivit et persécuta la classe des lettrés et détruisit les livres îles adeptes et successeurs de Confucius (celui-ci voyait le bonheur du peuple dans son instruction ; Laotseu dans son ignorance). L’histoire a conservé les noms de ses ministres. Lisse et Moungtien. A cette époque cruelle et glorieuse succéda l'époque vraiment nationale des lian : l'impAt du sel fut supprimé; les hôpitaux furent organisés; les vieillards incapables de subvenir k leurs liesoins furent nourris aux frais de l'klal; des lois fmpjiéreiit le luxe effréné, réglementèrent la frappe des monnaies, la plantation des inilriers, l'élevage des vers* soie et encouragèrent la renaissance des lettres. <;'e»l à cette époque (I45 avant Jésus-Christ) que vivait Ssenm-thien, le plus «•élèlirr historien de la (lliine. lie nombreuses écoles furent fondées pour répandre l'instruction dans le peuple. et le liouddhisiiie fut autorisé comme religion officielle i(»Ti aprés Jésus-Christ). Mais la douceur des nweurs engendra la faible vie de l’autorilé, et la dynastie Mau résigna son pouvoir supréme aux mains d'un général habile et victorieux (Ü0 aprés Jésus-Christ). L'influence des prêtres continua à être prépondérante ; il en résulta de continuelles révolutions et deux «ha internent* de dynasties environ par siècle. I.’Km pire néanmoins s'augmentait de la Corte et du Turkestan; on construisait un système «le canaux latéraux aux grands fleuves, et. en lii. l'art de la verrerie était découvert avec toutes les coloration* du verre par le feu. La dynastie Tliang porta la capitale de l'empire à