40 l.’eMIMnE OC MILIEU nanl tout sur le passage d'une véritable trombe et occasionnant, sur les rivages, pourtant bien |wu peuplés, une série de catastrophes. Los chutes d'eau très violentes de la saison des pluies produisent des effets semblables et d’une soudnineté singulière. Pendant l’hiver (cpii correspond A la saison sèche) les couloirs el les ravins, par lesquels se précipitent les eaux du ciel et de la fonte des neiges, ne donnent plus une goutte d'eau ; le sol des liants plateaux, dans son aridité native, n'en fournit ¡mis davantage ; et les déliourhés fluviaux, où gronduient auparavant les flots pressés et impatients des inondations et des crue*, ne voient plus que îles eaux lentes el avares roulant dans un lit rétréci el presque asséché. C’est entre ce» deux extrêmes que les forêts jouent leur rôle régulateur. Pendant le* saisons humides, elles s’imbilient. remplissent leurs estuaires cachés, Ixtircnl par lous leurs dépôts d'humus et retiennent une partie des eaux débordantes. Pendant les sécheresses, elles rrslitucnt ces eaux captée* aux thalwegs, en les augmentant du débit de leurs sourres naturelle* et de» eaux du ciel qu'attire l'immense étendue de leur* frondaisons. Dm» les larges plaines orientale«, le débit de* fleuve» reste ainsi suffisant, sinon pour la navigation upù est aussi arrêtée par le changement des fonds saltlonneax de* rivière* et le repérage nouveau, tou» les an» obligatoire), du moin* pour la flotlaiwu el pour le» Ilevains «les riverain». Et, (tendant 1« grandes eaux, les débordements inévitabk*». v.igneu-setnetil mesurés, jaugés el distribué», sont localisés awr la plus grande litgiqu* et servent à l’entretien et à I arrosage «le» rizières, étagée* du pied «le» c«4-