ciiapituc iii 7 n'esl |mis pré», que prédisent pourtant les pessimistes et 1rs rfvrurs, où le* I Illinois, déliordant «le leur* frontières, faute île pince, envahiront le r>-str île l'uni* vers. \jf problème tient à la détermination d'une autre inconnue.Tous les ans, le Chinois défriche une partie de son sol en jachère nu nliautlotiliée et transforme «les prairies ou «les brousse* en rizières, et il fait, pour cela, les travaux «le drainage nécessaires. Tant «jue la Chine |Miurra étendre l’espace di’-jâ démesuré «le ses rizières, le peuple chinois ne songera |«as h <|uitter le sol natal ; et cet agrandissement de la rul-ture du riz tient exclusivement A la formation géologique «lu terrain, et à la facilité <|u‘ou aura, grâce h •les cxhausscmcnts'sut'i'csftifs, «l’y amener le drainagv des inondations estivales. U Chinois transformera ainsi toutes ses plaines, et même les vnlh'-es intérieures «•t les luis flancs de ses collines ; il ne s'arrêtera que ■levant l'insurmontable ohsUrle de ses montagnes et «le ses forêts. l.i population chinoise des ■ ports à traité • et «les villes ouvertes au commerce rurop«Vn a pris déjà «1rs habitudes coMmifiolilcs. l-rs vices qui flruri*aeot «Uns les graiuls caravansérails humains ne difTèrrnt guère sous toutes les latitud«-*, et Canton rapproche autant «le Lonillr» «|u'on prétend que Paris se rapproche «le Dahylonr. La population dolíanle, les mari* nier*. les coolies, le* inlerprèles et boys «le toutes mtrhs «|ue l'argent et la familiarité «les KumpiVns «léchuM-al. les inlerméoliairrs «le toute cspftcr uu( Ir-s inlermé» tliaires «le 1‘argeut. qui, «lans le Sud, *onl Imn «le raor malaiseï, les commerçants douteux qu'attire l'appât d'un Incre immédiat et sans fatigue, et t.mtr la «é-«JIH-Ilr îles mendiant*. H les ru faut* perdus, H 1rs