l'empire or mutv • par où «e déversaient dans In mer les eaux de tout un Imssin i par ncmplr, le» grands lacs du Cambodge). El, tandis que 1rs pays de montagne» sont presque tous alwindonnés a l'essor naturel «les for«'t», les sols alluvionnaires, soigneusement drainés, sont partagés en sols «le eulture» riche», naturelles, intensives ou importée», suivant leur fertilité relative et le mode «I appropriation qui leur «»nvient le mieux. lj» forét, en effet, couvre une très vaste partie de l’EvIn'ini'-Orient, partout où une «•lévalion moyenne au-dessus du sol environnant donne lieu à «l«-s |ieiites «le terrain supérieures à celle des terres « roulantes. Lrs cultures habituelle* niVessitent à la fois «le» terres meubles et des irrigations nombreuses. Elles ne sont pa» soumises à un régime forestier spécial. Elles croissent naturellement sous le soleil et v>u* les pluie» ■lu climat natal. (l'est, dans mi splendeur sauvage, la forêt vierge sur d'interminables éternises. On ne pas.se pus «Uns la forM ; on ne vit |ws dans la foré! ; il u‘y a, bien entendu, pas «le roules, ni «l’autre» w-ntiors que l'tuv suivis par lis monlagnanls voyageant à travers leurs |«uvres el lointaines agglomérations ; la rivière, avec »«■»cascades et «on cours tourment«’-, est elle-même relwlle h tout usage. Aussi le trésor de* foréis reste inutile rt intact. D'admirable» essences. «les bois précieux et aussi «le» bols de construction poussent à l'envi «Isn» «-es profondes réserve» ; mais les fièvres algule*. maitn-w* souveraines «h- la forêt. l’alisonoc totale île tout chemin, la matérielle impossibilité «le toute «Communication rendent vaines toutes tx» rii krw« naturelles. Ni lVbène. ni le palissandre. ni le camphrier, ni 1rs autre» bois rares, ni les bois de fer. ni le trek, cet arbre admirable dont il pousse en