l’kmPIKK Dt? HIUEl' Yli. If Uki, le Tathsinghoueîtien surtout. Par là. la routine et la convention »’imposèrent «lè* les premier* jour* aux artistes, en les dispensant de toute interprétation personnelle, et en les astreignant A répéter «les t_v|ies iiiiuuialdeinent arréti^». Iji première pn'iif-t'upation de l’artiste est «le ganler les mesures prescrites et «le respecter le canon «jui lui est imposé. Et dans les gall>es les plus heureux, on reconnaît toujours une certaine raideur hiératique ; il faudrait, pour en faire «les «ruvres irréprochables, un ¡»eu de lilierté dans l’inspiration. Le* motifs ornementaux sont g«-omélri«|ue» ou naturels; les premiers sont tous «les diversit«*s ou «les déformations «lu • méandre • ou « grecipie a, «jui fut, par les premiers artistes chinois, tiré «les ■ koua », idéogrammes primitifs. Les motifs naturels comprennent les auimaux sacrés, dragon, licorne, ph««-nix, tortue, glouton, grue, «-hauve-souris. etc.. <|ui sont souvent contournés «le façon à rappeler. tantôt les formes »ymlx>li<|ucs prescrites «lan» les rites. tantôt les a«'ceas«iirr» usuels des nieuhii's. (lest ainsi «jue. en serrurerie, le» chauve» souris forment généralement les poigtn'-e» des meuhle», le» gongs «les appels et le» boucliers d«*s guerriers. t’ne particularité du génie extnvm«'-oncnUl est l’amour «le» mouslruosit«-» et de» tératologie». (> n’est pa» une »impie «léformation «lu godl : l'explicatioa «l’une (elle bizarrerie r*t plu» haute. Malgré le» edu-rations el la contrainte de l'atavisme, la nature a «le» droits imprescriptibles. el la représentation «le» chusrs auimév» fera toujours partie «lu domaine «le l’Arl. Pour concilier la volonté des traditions avec ce» ilnin «rcrrts et tout-puissants, les Exlrémr>-Orientaa«