CHAPITRE IV 71* impertinence et même pour («avantage. One diraieut In (cniim« d’Occiiicnt d’un pareil ras do divorce t... Ut répudiation n’est jamais accomplie au «lésavan-tatje du mari. L’atlultère est très Bravement puni, mime che* l’homme. Dans certaines régions, la femme adultère voit sa mort confié«' au hasard «les éléments, et précédée «le supplice* affreux dont inius tairons ici la description. Le rôle «I«' la femme dans la maison se confine tout entier dans l’intérieur «lu ménage ; elle demeure, vis-à-vis du mari, complètement efTac«v. Mais le rôle de la mèn* «“si considérahle. et les cawili «piVile donne sur la «letnande «|ui lui «ni rat toujours faite influent sensiblement sur la conduite et le sort «l«*s enfants, même Ai{és, même mariés. Elle ne jouit cependant d'aucun droit ; et il ne semble |iai «pie Ira femme* soient bien instruites. Ménagères, elles f«»nl même certains gros travaux, I«liaient, cuisinent, pM|ti«*nt le Imffle «>t repiquent le ri*, pendant «jue leur maître lirtsle la soie, fait «h's vers ou rêve aux solives du toit en fumant ses pipra. On voit que l'institution palriarrab* de la famille ne crée pas d'usaee* familiaux bien nomhreux ri bien stricts. Nous ferons cc|M-n«lant une exception en <*• «pii concerne les morts. Certis, la mort fait h «-es peuplra. très fins d,intclliip'n«v. mais sans nerfs, et préparés par «Ira traditioM rrlicieusra très«-onsolantra. un effet fort peu péllibic et «|ui ne se rapprochent rien «le la répulsion «jne ce fait très naturel inspire aux imairitialions coinpliipiées «le l't Veillent. Mais Ira bon murs rendus A la mémoire du mort commentent avant le refnoi«liv«*'ni«*nt du radavre : il iiiqiorte «pie les jeûnra «H Ira festins soient rituellement olnwrvé» «■!