nt» l'emimre du milieu dans les grandes agglomérations des ports ou sur les surfaces agricoles, il s’ensuit que le terrain utile, où la race chinoise |>eut atteindre son maximum de densité, est relativement restreint. Les montagnes n’abritent «pu* des tribus spéciales auxquelles ne s'adjoindront jamais les gens des plaines ; les contrées incultes, asséchées et désertiques, sont plus nombreuses que les cartes ne l’enseignent. Bientôt le Chinois il aura plus de place en Chine. Déjà il a voulu remédier pacifiquement à cette pléthore ; il s’est répandu en Indo-Chine, à Singapore, à Cevlan, en Australie, en Californie et jusqu’à New-York. Mais en Indo-Chine où un tel voisinage peut être dangereux, en Amérique et dans les colonies anglaises, on dose savamment ou ou empêche complètement cette émigration. Ht la race déborde ; le jour où les Chinois seront trop serrés les il us contre les autres, lion gré mal gré, il leur faudra bien sortir de chez eux. El il suffira, cejour-là, d’un souverain guerrier (ils en ont cul pour revoir le temps des Grandes Hordes ». De plus, la Chine, silencieusement, marche au progrès militaire. L'actuelle facilité des communications, la complaisance avec laquelle la race blanche a reçu les commandes chinoises, fondu les rauons et les obus chinois, instruit les troupes chinoises, éduqué les diplomates chinois, ont montré aux mandarins et aux lettré* les immenses avantage* que les progrès industriels et militaires ont procurés à de» |iav* quinze fois moins |teuplés et moins riche* que le (a;le*te Empire. U révolte actuelle, qui n'est qu'un épisode, montre que le* Chinois de l'.NN) ne sont plus déjà les Chinois de IHtMt. Plu* le temp« passera, plus