NOTE SUR LES EVENEMENTS ACTIT.LS 173 vant Je toutes parts, île la [»opulace en effervescence dans les rues de l’ékiug, lil à l'impératrice ce que l'impératrice avait fait à l'eni|ien‘ur ; il la déposséda, et, avait-on prétendu, l'empoisonna en même temps que l’empereur lui-méme. Dés lors, au nom de sou fils, héritier du trône, le prince Tuan était maître al»-solu. Mais, même en Chine, tous les moyens ne sont |mis bons |>our se saisir du pouvoir suprême : malgrv — et |>eut-t1tre même à cause —des massacre» ordonne* dans Péking, les vice-rois du sud s«-concertèrent |»our protéger les étrangers et refuser oln-issance à l'usiir-pateur mandchou, tandis que, dans la capitale mène, le prince Chenu; organisait la contre-révolution chinoise et protégeait, dans les légations à moitié détruites, les Européens aux aboi». Tel est, à l'heure présente, l'état de la querelle. Voyons quels avantages et quels dangers, tant |xiurU propagation de la révolte en Chine que pour l'éclosion de complications internationales, peut présenter l’intervention des puissances européenne». Cette intervention se produit toujours insuffisamment et trop lard. Insuffisamment, parce que le» troupe» coloniale» des puissance» insbtllée» eu Asie ne peuvent onvover en Chine que de faibles d<-ta< forment» et »ont tout entière» employée» à U sarde de leur» possessions respective»; trop tard, parre que les métropoles, d’où |iarteiil le» contingent» enfin respectable». »ont en moyenne à trente jour» de mer de» événement» à réprimer. El la répression en elle-même sera toujours mé-