BIIILIOOH.U’IIIF. (Vt ouvrage du vaillant et savant missionnaire est, sous une forme historique, la meilleure monographie encyclopédique du Céleste Empire. Rien n’y est oublié ; et ou y sent un étonnement sympathique devant une civilisation inconnue, qui met autant de raffinement dans scs lettres et dans ses dehors que dans ses barbaries, malgré tout subsistantes. 7. LA CHINE, par Lawrence Ouphaxt. traduction de Guizot (Paris, Michel-Lévv. 1875). 8. LA CHINE, par J.-F. Davis, traduit par Pichard (Paris, Paulin, 1857). 9. LA CHINE ET LES PUISSANCES EUROPÉENNES, par SiNtnAi.no db Mas, ministre d’Espagne en Chine. 3 volumes. Paris, Hachette et C<* I8f»l. 10. LES CHINOIS PEINTS PAR UN FRANÇAIS, |wr Paul A.vroxtxi (Paris. Ollendorff, 1881»). Ouvrage agréable, un pou superficiel ; le peintres plus de fantaisie et d'éclat que de scrupules. 11. LA CITÉ CHINOISE. |uir (i.-E. Siaox. ancien consul de France en Chine, XouoeUe liei'ue, 1885. t>t ouvrage est un pur chef-d'o-uvre de vérité, d'assimilation et de courage. Paraissant aujourd’hui, il ferait scandale, mais serait immédiatement illustre. Paru il y a vingt ans, il devançait son heure et est demeuré inconnu. Jamais on n'a. en aucun pavs, mieux parlé de la Chine et plus impartialement étudié |es C hinois.