110 l’empire du milieu et d'entendre les rorps et les esprits des Jaunes se mouvoir comme s’il n’était pas là. Le lettré (qu’il soit fonctionnaire on simple particulier), en dehors des in < ta nts de son existence publique, au triliunal ou dans les conseils, vit, chez lui, assez retiré, dans un isolement un pou lier. L’étude, non pas seulement îles livres sages, mais de toute la culture, qui constitue la grande et vraiment la seule aristocratie de la Chine, occupe la plupart de ses instants. Ouand il a relu les sentences qui peu- x’ont être utiles à sa fonction et à son travail du jour, quand il s'est récréé l'esprit de tels littérateurs souriants on de tels harmonieux jMiètes, il s'ingénie, le pinceau en main, à tracer dos écrits qui lui représentent agréablement ses pensées , et qui forment aussi des assemblages convenables de caractères élégants ; et surtout, il sejlaissr et se contemple vivre, avec mie jouissance consciente et aiguë du non-agir. qui est toute particulière à sa race et à sa caste. La D«sf du foyer.