» , -*■ x mkrjkCK diterronée qui ne connaisse son pavillon. L, richesses s’accumulent dans ses demeures et elK r se pare de monuments charmants et magni flque* dont loi rares vestige«, échappés au désastre de. 1607, font encore aujourd’hui l'étonnement du voyageur. En même temps qu’un hardi commissionnaire en marchandises, elle est un splendide entrepôt de formes et d'idées. Devenue le vaste emporium de la péninsule balkanique, elle avait entretenu de très bonne heure un »ecritmirt d* U Commun* qui devait savoir la langue serbe et connaître l’écriture cyrillique. Par la suite, elle avait été peu à peu envahie et transformée par le milieu slave qui l’entourait. Le serbe qui, au début, n’avait été que le patois de» dattes inférieure» et des femmes, avait pénétré ensuite dans le» milieux aristocratique*; U était devenu la langue familière des riche» marchands, de* noble» et de« comte» qui, chez eux, parlaient < nachki *, notre langue. Mais, s’ils aimaient ce dialecte sonore et savoureux et •*U» avaient an ocrar un sentiment de chaude affection pour la race «lave avec laquelle il# tendaient de plus en plus à se confondre, il» n’oubliaient pas la dignité éminente qu'ila tenaient de» Romains leur* alenx. Nulle part aussi l'humanisme n’allait trouver de» disciple» plus empressés et plus docile» et, dès la première heure, U» fournissent de brillante» recrues à la phalange de» « docUMàmi viri • qui, au xv* siècle,