▼I rairacx mais n’exercèrent qn’on contrôle assez lointain sur dm institutions et elle conserva même une certaine indépendance dan« *a politique étrangère. Depuis longtemps déjà, elle accueillait dans scs murs nombre de colons et de fugitifs serbes, et, nous cet afflux, elle avait perdu sa physionomie primitive exclusivement latine. Malgré cette infiltration étrangère, elle gardait cependant son caractère propre et maintenait se« traditions originales. Pour ne pas se laisser absorber par ne« voisins, elle se servmit de leurs rivalités et chacun d’eux la ménageait pour ne pas la jeter dans les bras de ses concurrents. Le danger de la pression qui «’exerçait sans cesse sur elle du dehors et la DémiiU de se défendre contre l’absorption étrangère l’avaient contrainte à s’entourer de la muraille protectrice d’institutions strictement aristocratiques; l’autorité s’était concentrée dans le» mai» du Consiltum rogatorum, du Sénat et do grand Conseil, que dominaient an petit nombre de famille« nobles, dont le» noms se retrouvent souvent jusqu'à la fin de ta république ; le» Ment-chetitch. qne rappelle la tour Minteheta, les Gandnlitch qui lai ont donné le plus célèbre de ses écrivains, te« Banjina, que noos rencontrons plusieurs fois dans le» récits de M Votoo-vitch, le» Graditch, etc. On a reproché souvent A ce» oligarque» leur ««prit de caste, leur attachement servile à ta Ira