r ni Mci XIX cessent pu* do faire aux vaisseaux anglais et français un* concurrence souvent heureuse. Mai* la République est trop faible pour défendre les intérêts de son commerce et se« diplomate« •’épuisent en stériles efforts. Hi, à force d’humilité, elle parvient à désarmer les cupidités qui la guettent et si elle évite les périls suprême», on est tenté souvent de se demander i quoi lui sert désormais son ombre d'ind* peu-dance. Au moment où commence l’effondrement de l*Empire turc, pour se garder de* embûches de Venise, qui a toujours été son adversaire la plus redoutée, elle accepte la protection autrichienne (1634). Tutelle asses vaine d’ailleurs qui ne la met pas à l’abri des insultes et de« avanies. Au XYII1* siècle, la situation devient plu* menaçante quand Catherine II intervient dans les affaire* balkaniques et qu’une flotte russe apparaît dans la Méditerranée. « La diplomatie de la République, écrit Constantin Jlretchek, dont le« études ont jeté une ai vive lumière sur l'histoire de la Dal* matie, n’était plus qu’un anachronisme j alors que le« condition* générales s’étaient profondément modifiée« et que de nouvelles puissances entraient en ligne, le sénat per»istait dans se« méthodes surannée«, s’attardait à de« débats Insignifiant«, n*o«ait prendre aucune résolution, tremblait devant le« moindres nouveautés. * Sans doute, et les critiques que Jiretchek et