patries xvii de parfum qui, « de l'Athènes yougo-alave », so répand sur le rente de la péninsule balkanique et, en ne combinant avec le* senteur# plu# âcre* de l’épopêe populaire, pénètre peu à peu l’âme nationale, pour réveiller, au milieu de la fétidité ottomane ou de la brutalité magyar«*, le regret de» siècle* de divine beauté et d’humaine ttgease que la Grèce antique et la Kome impériale avaient donné» au monde. • • • La prospérité de Raguse semblait en plein essor quand elle fut atteinte par une effroyable catastrophe. Le 7 avril 1667, un terrible tremblement de terre dévasta la côte de l’Adriatique; dan# la ville et dan# le# environ#, presque tout«* le# construction# en pierre s’écroulèrent, le# plu# magnifique« monument# furent dévasté# ou détruits. Cinq mille habitants furent enseveli# «ou# les décombres. Un incendie furieux se déchaîna dont on ne se rendit maître qu’après une lutte de plusieurs jours. Les habitants de# catu* pagnes voisin«» accoururent, commencèrent à piller, massacrèrent ceux qui essayèrent de les arrêter. Grâce aux secours qu’envoyèrent le Pape, les États italiens et même la Turquie, la ville fut en partie reconstruite. 8a fortune pourtant ne se releva jamais du coup qu’elle avait reçu et elle ne traîna plus désormais qu’une vie