raárxct XXIX ii In fois par le respect de leur passé et le souci de leur avenir, l’intérêt général même de la civilisation leur ordonne de ne pas les abandonner. S’ils étaient capables de défaillances momentanées, leur abdication, qui ne pourrait dans aucun cas être définitive, serait grosse de nouveaux conflits. Leur faiblesse serait une sorte de trahison, puisque leur capitulation affaiblirait les principen essentiels de justice sur lesquels doit reposer l’Europe nouvelle. Après l’épouvantable cyclone qui ravage lo monde, l’Enrope n'aura pas trop de toutes ses forres pour réparer les désastre« qu’a déchaînés sur elle la folie scélérate de« Habsbourgs et des Hohenrollern. Nous en avons vraiment assez des impérialismes pseudo-scientifiques, des mysticismes égoïstes et des mare r.ostrum. Les Italiens sont les héritiers légitimai de Rome, ils sont fiers de cette admirable succession et on ne saurait ni s’étonner de leur orgueil généreux ni bl&tner leurs espoirs légitimes. Il est fâcheux seulement que quelques-uns d’entre eux, pas très nombreux, mais tumultueux et intempérants, interprètent à contre-sens la tradition latine et n'eu comprennent pas la grandeur réelle. La conquête romaine a été avant tout une cbuvtv de civilisation ; les plagiaires médiocre* et bornés qui essayent aujourd'hui de reprendre de« méthodes contraires à la conscience moderne et condamnée« définitivement par l’expérience, trahissent