PAÉF ACE XIII beauté et l’esprit do VArpatie dalmatt, Flora Zuxeritcheva. La riches-e de la rie intellectuelle qnl se développe al or* à Raguse a frappé d'une sorte de stupeur le« historiens qui ont étudié les Yougoslave*. « Prodigiono, écrit M. Domcnico Ciampoli, è il numéro dé suoi scrittori ; mcraviglioso qttello d«Ue oj>ere sparse in moltissime biblio-tei he s. Il est plus étonnant encore que cette activité littéraire se soit maintenue aussi intense pendant plusieurs siècles. C’est que toutes les classe« sociale« s'y associent; dans l’église des Muses, le* castes se confondent et les préjugés n’évanouissent. Une rivalité f<* onde et joyeuse emporte la Cité dans un même enthousiasme et un travail commun. Si l'on songe & la quantité extraordinaire des œuvres dont on a conservé le souvenir, — et combien ont disparu î — et qu’on la rapproche du chiffre extrêmement faible de la population, il n’y a aucune exagération à dire que la ville entière est alors un vaste atelier d’esprit et de science. Le talent t’y transmet de père en fils. Certaines familles, les Mentcbetitch, le» Bouni'ch, les Gundulitch, se passent de génération en génération la flamme de l’inspiration poétique. Naturellement, dans ces légions d'écrivains, le« hommes d'un mérite supérieur et original sont anses rares ; mais presque tous se distinguent par de remarquable« qualité« de métier ; ils m sont