r**r aci VII dition, leur terreur en face des plu« inoffen-sives nouveautés. Ces défaut« inhérent« à tout«« le« aristocratie« ne ne développèrent cependant à Raguse que lentement; longtemps combattus par le vent du large et tes habitudes du grand commerce, ils étaient compensé* dans une largo mesure par la constance d’une politique qui adaptait au gouvernement de l'État les qualité« des marin* dalmates, dont l’expérience prévoit les brusques sautes de vent et qui, dans le dédale des Ilots et des écueils, mènent leur barque à bon port à travers le« vagues mugissante« soulevé«* par la bora. Si la petite république se fût trop facilement ouverte aux influences plébéienne*. elle se fût bien vite perdue dans l'océan slave qui l’assiégeait, et comment alors aurait-<-Ue rempli le rôle de médiatrice qui lui était dévolu I Jusqu'à la An elle garde non seulement son autonomie, mal* sa physionomie originale et son tempérament distinctif, slave et indépendante du slavisme, accueillante aux souffle* venus de l’Italie sans trahir son propre génie. Ainsi seulement, elle a mérité de tenir dans la péninsule balkanique, mais avec in Animent plus de suite et de constance, un rôle qui rappelle en quelque manière celui qu'à certaine* heures a joué Genève dan* la vie Intellectuelle et morale de la France. Pendant la décadence de l'empire byzantin, elle fut en grand péril, menacée par les ambi-