pHirv i IX blee le sursis toujour* temporaire et satis cesse renouvelé que loi accordent le« fore«« rivale« qui battent se« muraille«. Pendant trois siècle«, elle soutiendra victorieusement cette gageure contre le destin de continuer à vivre, d'arrêter au pied de se« rempart« le« maîtres du dehors, de demeurer fidèle à elle-même et d’absorber l«s effluve« les plus capiteux et les plus divers sans en perdre son arôme natal. Aucune démarche qui ne soit grosse de pénis, aucun traité qui ne recèle des piège« ; heureusement que ses • no-biles » sont passés maîtres dans l’art (l’interpréter tes clauses des conventions, de découvrir tes formule« qui réservent l'avenir, de dépister les rapidités, d’opposer l’une à l’antre les con* voitises, et de susciter à l'heure décisive des défenseurs imprévus. A ce jeu, où chaqoc jour l'avenir de la patrie est en question, les esprit* s'affinent et tes coeur* se trempent. 8i ses ressources loi inter* disent les vastes entreprises militaires, la hardiesse de ses marchands accept« la latte avec tes célèbre« marines de Gènes et de Venise, et te fortune sourit à leur aodace. S« flotte est nombreuse et ses comptoirs prospère* ; la guirlande de ses colonie* se répend en Bosnie et eu Herbie, à fferajévo, Novi-Paxar, Belgrade, Skopié; elles pénètrent en Bulgarie, en Moldavie et en Va* techie, jusqu'à Constantinople, en ftgvpte et sur tes cdtes bnrbaretqoe» ; aucun port de la Mé*