PTEL KOTE/lb HBEtfb » >KÀRtH0SAT a 1 |MPH05Arb • • firptAJUki Mhx&haobq Umhhu* ANHlALO 'AHXMflVlO rtOHkO&C ÎMBOyTb OL *T'iK>’PrAcrjb >yn£*d XâHOQO r SOZOPOL •p03ono.n‘b /lâHAâftd i6y«AP' Etitt-Ôu-AH elhovo] tmoBo«í ¡K*j»nb-ûrasbl^i >KA8ÛKflM KAVAKLY • • • 0 '.Emhhb „MESSEMVR1A ^MECEMBPW) Kwnem • VASSILÜKO ^ACMylMKO AHTOPQL ►.AxTono^t ^M.'tljPHOBO' MAtKO-TlRNDVD Carte 24. — La plaine de Bourgas. (Echelle : 1 : 835.000.) Echelle de teintes : blanc - 0-500 m. ; — gris clair = 500-1.500 m. ; — gris sombre = 1.500-2.000 ni. ; — noir = -f- 2.000 m. Les points noirs désignent les localités impaiudées ; — les cercles rayés d’une croix désignent les cheis-lieux de secteurs sanitaires La plaine de Bourgas, extrémité orientale de la Bulgarie méridionale, est nettement délimitée au N. par le Balkan, au S. par le plateau de Strandja. La majeure partie en est occupée par des marais : au N. la vallée de la Louda Kamtchiia dans le Balkan ; à l’O., la vallée de la Toundja, d’abord Ouest-Est (sillon continué, dans l’ancienne vallée de la Toundja, par les marais de Straldja et de Karnobat), puis Nord-Sud ; au Centre, par ceux de Karabounar, plus ou moins drainés vers la mer Noire ; à l’E., les lagunes littorales, qui s’échelonnent de Jlessemvria au S. de Bourgas, et qui réapparaissent entre les éperons de la côte rocheuse au S. de Sozopol. Tout un travail d’assainissement doit marcher de pair avec la colonisation. Planche LIII (p. 252)