LA COURONNE DE VENISE et le dos à l’Orient. Si c’était pour toujours ! » Mais à quoi bon ressasser les plaintes que traîne toujours après elle la tristesse des adieux ? A la fin de ces heures d’Italie, je serais ingrat d’oublier qu’aucune d’elles ne me laisse un souvenir qui ne soit de bonheur. Toutes peuvent se compter au vieux cadran vénitien où je lus jadis, à mon premier voyage : Horas non numéro nisi serenas. FIN — i3o —