i3i Che cos’avrà detto Mad. M., la quale tre giorni prima gli aveva fatto una scena di gelosia, poiché ella lo « soupçonnoit de la première danseuse » P La Radaelli aveva, è vero, altri adoratori : « Langw(ieder) débouta chez la première danseuse avec une pièce de toile » ; il Gabrieli l’accompagna al Casino: il Lazzarich poi « a payé le loger pour elle, mais n’a rien obtenu » ; 11 « il n’y a rien sur sa conduite » afferma lo Zinzendorf. « Au spectacle de bonne heure, je vis la scene de la maison des fous... Au Casin... Marotti y amena la S.ra Giuditta Viarana et Gabrieli la première danseuse. Lanthieri leur fit face a toutes deux. Le souper fut gai sans aucune indecence, mais il y servit froid. On alla au bal ou je restois jusqu’après i h. La première danseuse a des plus beaux yeux, la Giuditta un joli tour de visage, jolie gorge, elle paroit beaucoup mieux que sur le theatre, seulement le front est un arqué. La Vigano malade du diner de Lanthieri ne put y venir » (6 febbr.). Altre confidenze : « La première danseuse parla dans ma loge d’une maniere très sensée sur les jeunes gens impertinens et prévenus de leur beauté. Elle a beaucoup plus de raison que la S.ra Giuditta Viarana qui me paroit une sotte... Elle desire revenir l’année prochaine. Cette fille me plait, on est tout étonné de trouver un sentiment juste, une façon de penser solide dans cet état » (y febbr.). Oramai siamo alla fine della stagione e l’idillio resta interrotto. Dopo una ripresa della prima opera (5 febbr.), alternata poi con la seconda, si è giunti al martedì grasso, 8 febbraio. « La terza donna (la Viarana) jolie avec sa gorge découverte, ses belles mains et yeux enfantins me dit qu’elle n’a vu personne chez elle che il S.r Baron Marotti. La Vigano decida que le Barba zio de la première danseuse (Giuseppe Redaelli) est femme, elle me pria de lui donner une lettre pour Mr. de Durazzo. La première danseuse Radaelli avec ses beaux yeux prit son congé d’une manière touchante ». La prima buffa andò a prendere congedo da Sua Eccellenza, il giorno dopo. Le accademie musicali incominciarono per tempo. Il 28 gennaio, un venerdì, giorno nel quale, com’è noto, non si dava opera. « Bertoja 12 le Violoncelle donna une académie de musique à laquelle j’allois. Le premier Violon Rizzi n’y fut pas n’ayant par trouvé l’orchestre arrangé selon son gout ». Il 13 febbraio — prima domenica di quaresima — concerto, nel quale cantò il Crinazzi e lo Zardon suonò il violino. Forse ve