IMAGES VÉNITIENNES caressent amicalement le visage, tandis qu’à tâtons, dans la muraille obscure, je cherche le clou où je pends, chaque soir, la grosse clé qui atteste que je ne suis pas, ô Venise, un vil passant à travers ta beauté, mais quelqu’un de prisonnier à jamais de son sortilège, dont elle est, cette clé., l’emblème, et que j’aime porter à la main comme un talisman familier et comme un signe de ma chère captivité. — 28 —