préface VII dans le Gaulois, d'autres au Journal des Savants ou à la Revue de Paris. L'un est une lecture faite à la séance publique annuelle des cinq Académies ; d’autres, sous leur forme première — légèrement remaniée ici, — ont été des conférences. Mais, quelle que soit leur origine, tous présentent ce trait commun de n'être point des travaux d'érudition, mais plutôt des essais de mise au point, destinés à faire connaître aux lecteurs des choses souvent assez ignorées encore, et qui peut-être ne sont pas dépourvues de tout intérêt. Ch. D. Paris, mars 1917.