LA PRINCESSE DE TRERIZONDE 227 cœurs : et quand, à propos de l’une d’entre elles, il faisait dire à l’un de ses personnages : « Si le soleil arrive en votre pays, il ne se peut point qu’on ne parle pas d’elle : du moins l’Asie entière est unanime à louer sa beauté, et l’on n’est pas digne d'être prince, si volontairement on ne devient son sujet»; quand il écrivait ceci, Marini, sans nul doute, se souvenait de la princesse Théodora Comnène, de celle que tous ses contemporains nommaient « la princesse » tout simplement.